Si le rapport d’activité a beaucoup évolué au cours de ces dix ou quinze dernières années pour se rapprocher peu à peu du livre d’édition, du « bel objet » ou dans sa version digitale, du site événementiel, certains annonceurs sont encore attachés à produire un « vrai » rapport d’activité qui, au-delà de la mise en avant des missions ou des valeurs, intègre véritablement les données de bilans et de perspectives au coeur de leur projet.
L’Institut d’émission des départements d’Outre-Mer (IEDOM) et l’Institut d’émission d’Outre-Mer (IEOM) sont restés fidèles à la tradition et continuent chacun d’éditer un bilan aussi épais que très attendu par ceux qui portent un intérêt aiguisé à l’économie et aux marchés d’Outre-Mer, avec la même impatience que l’arrivée du cargo mensuel dans un atoll des Tuamotu dont les marins déchargent avec beaucoup de prudence les caisses de « Hinano ». Car c’est bien d’économie locale dont il s’agit et la « Hinano » en fait partie !
En effet, ces rapports représentent une véritable mine d’informations pour qui sait lire les chiffres et décoder les perspectives économiques et financières à travers 5 à 6 parties bien denses et non moins construites et équilibrées, avec un objectif : permettre de comprendre l’évolution et les spécificités de ces différents marchés éloignés de la métropole.
Depuis 9 ans, Luciole accompagne avec toujours le même plaisir ces deux instituts dans la production de leurs indispensables outils de référence.
Afin de créer un effet de collection et d’optimiser l’approche budgétaire, l’agence a imaginé un principe graphique et iconographique déclinable pour les deux grands rapports sur 3 ans et dont la charte graphique est reprise « en local » pour réaliser les éditions propres à chaque département ou territoire.
Côté iconographie, une thématique particulière est abordée chaque année : après la mer et les fonds marins, les fleurs et la forêt, puis l’économie halieutique, le dernier millésime fait la part belle à l’agriculture. Les trames colorées apportent une « matière » et évoquent la diversité des cultures que souligne également une palette de couleurs retravaillée lors de chaque édition.