Si certain en agence ou chez l’annonceur ne jurent plus que par le tout-digital concernant leurs supports de communication institutionnels ou corporate, chez Luciole nous sommes plus partagés.
La vraie question n’est-elle pas d’être certain de toucher sa cible et de remplir l’objectif, quel que soit le support ?
Prenons un rapport d’activité diffusé en ligne auprès de 1 000 destinataires. Malgré tout l’intérêt et la beauté du mail qui l’accompagne, les chiffres sont cruels : avec un (très) bon taux d’ouverture de 30 %, puis un taux de clic de 5 % plutôt satisfaisant, combien de personnes auront découvert ce fameux « RA » dans sa version digitale ? Réponse : 5 personnes. Et l’immense majorité des internautes ne dépasse pas les 5-6 premières pages…
Si le rapport d’activité « en ligne » est bien sûr indispensable, sa version imprimée joue un rôle en réalité de grande importance. Car cette dernière marquera plus efficacement les esprits de la cible réelle par sa présence (sur le bureau, dans un hall d’accueil, sur un salon ou dans les salles de réunion) et rendra l’information tangible lors de sa lecture, même si l’ouvrage ne devait être que survolé : on feuillette, on manipule, on touche de l’oeil ou du doigt l’information et on s’arrête qui sur une image, qui sur un verbatim, qui sur un chiffre clé.
Le rapport d’activité imprimé est un ouvrage qui délivre plus qu’une simple information. Il est une représentation concrète de l’institution ou de l’entreprise.
Alors print ou digital ? Si vous devez faire un choix stratégique : gardez les deux !